Ces dernières années, nous avons beaucoup parlé de crypto-monnaie, d’e-euro et de réseaux sociaux. Les banques traditionnelles qui doivent se réinventer sont aussi d’actualité. Celles-ci ont du mal. Et pourtant il semble que ce soit un passage obligé pour les établissements bancaires traditionnels.

Le e euro nouvelle monnaie

Ce n’est pas une chose facile. Il y a beaucoup de choses à mettre en place. Mais il y a aussi beaucoup de contraintes. Pourtant si elles ne se réinventent pas, il y aura forcément de graves conséquences.

L’influence des crypto-monnaies. La pression de Facebook. Cela a entraîné une réaction directe des Etats.

Ces derniers, en voyant toute cette évolution ont compris qu’il fallait réagir. Commencer à étudier les monnaies digitales de banques centrales.

L’euro numérique ou e-euro.

Il s’agit de la nouvelle idée de Christine Lagarde et de la Banque Centrale Européenne (BCE). Une monnaie purement virtuelle qui pourrait être utilisée par tous via un smartphone.

La différence avec les euros sur votre compte en banque.

Les transactions d’ e-euro est plus rapide, voire instantanée. Elles ne nécessite aucun règlement interbancaire. Cet e-euro permet à la BCE de voir ses politiques monétaires parvenir directement aux citoyens. On se passerait alors totalement des banques privées. Cela stimulerait la consommation des ménages. Et encouragerait aussi les investissements des entreprises.

Il y a un possible bouleversement de monnaie à venir.

Les problèmes qui se posent sur la sécurité.

Il faut y faire attention. Et ce, même si la BCE affirme qu’elle utilisera un système blockchain réputé inviolable. Il peut aussi y avoir fuite des épargnants des banques privées. Et enfin, le respect de la vie privée. Face à une hégémonie renforcée d’une BCE qui pourrait tracer toutes vos transactions.

Le projet de monnaie Facebook .

Et même si ça ne va pas au bout, ça entraîne forcément une réaction. Allons-nous vraiment sur de l’e-euro? L’impact majeur de ce projet est qu’il sera possible de se by-passer les banques privées. Il  y a des banques privées qui ne sont pas nationalisées. Mais certaines sont quand même tenues fortement sous vigilance de l’Etat. Ce sont des marques de fabrique nationales.

Pourrons-nous aller aussi loin ?

En ce moment, ce sont encore des projets qui se lancent. Ce qui est bon, c’est de voir qu’il y a de la réaction.

Les blockchains de la crypto-monnaie ou la monnaie virtuelle des banques centrales.

Ce ne sont pas forcément les mêmes blockchains.  Pour les crypto-monnaies, on a barré tous les organes centraux de décision. C’est un système décentralisé. C’est-à-dire que l’on n’a plus besoin de notaire, de banque centrale, … On se débrouille entre-nous.

Vulgariser pour comprendre que le mécanisme n’est pas si compliqué que cela.

Vous prenez un petit groupe. Ce sont des propriétaires qui ont chacun leur bloc. Quand chacun donne son accord, on peut faire circuler une écriture. On peut faire circuler un bloc à l’intérieur de la chaîne de bloc. Donc, il n’y a pas d’autorité de contrôle. Ce qui entraîne une défiance vis-à-vis du système bancaire. Les banques n’aiment pas cela, elles ont l’impression d’être lésées.

Pourtant, il y a des crypto-monnaies comme le Ripple. Elles devaient faciliter les échanges monétaires. C’est ce qu’on appelle des blockchains ouvertes. C’est le système de blockchains des crypto-monnaies comme Libra, Bitcoin, Etherum, …

Lisez également : Démarrer avec la crypto-monnaie

Nous sommes sur un mode de blockchain privé.

Pour les MDBC, on est sur un système plus fermé. On va recentraliser avec une sorte de tiers de confiance. Ce sera un peu plus limité. Vous aurez un accès en lecture mais pas en écriture. Donc, vous pourrez faire circuler ces blocs. Par contre, vous ne pourrez pas en créer de nouveaux. Il y aura  une régulation par preuve d’autorité de la Banque centrale. C’est ce qu’on appelle des blockchains permissionnées. Cela va accélérer les échanges, mais avec un niveau de contrôle.

Beaucoup de pays sont impliqués dans ce domaine

La  Chine par exemple est bien en avance. Beaucoup de pays se lancent également dedans. Le premier pays européen à s’être lancé est la Lituanie. C’est aussi la force de cette Europe multi-Etats. En effet, nous avons des pays novateurs. Ils pourraient ensuite appuyer les autres Etats membres pour qu’ils soient dans le jeu. C’est un peu une vision 3.0 des Banques centrales. Et c’est bon pour l’avenir, un peu comme une cure de jeunesse.

Le Covid-19 accélère l’utilisation de l’e-euro.

Depuis le confinement, nous utilisons beaucoup les monnaies scripturales. L’argent sous forme d’espèce a été boudé. En effet, les paiements sans contact sont conseillés pour les mesures barrières. 

Est-ce que ce premier élan ira au bout ? Ou bien s’agit-il d’un effet de mode pour contrer Mark Zuckerberg? Lui qui a le pouvoir de déséquilibrer l’économie. En effet, avec le nombre d’utilisateurs qu’il a au niveau mondial, la Libra prendrait une dimension considérable. 

Et vous, que pensez-vous de cette nouvelle monnaie ?

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